Giovanni était rentré le premier chez lui. En attendant sa femme il s'assit dans son fauteuil préféré et lu le journal du jour. Il estimait que le fait d'être un nomade et de vivre dans un monde à part ne le dispensait pas de se tenir au courant des affaires du monde. Comme trop souvent les nouvelles n'étaient pas réjouissantes : guerres, terrorisme, chomage, crises.....
**Heureusement que nous sommes là pour apporter un peu de rêve aux gens** pensa-t-il en soupirant.**Si seulement les pouvoirs publics en prenaient conscience, ils nous aideraient au lieu de nous mettre sans arrêt des bâtons dans les roues !